Des études menées par l’équipe du Dr Sarah ELSEA aux Etats – Unis sur des modèles animaux et cellulaires, sont en cours.
Elles permettent de travailler sur l’identification de thérapies ciblées afin d’améliorer l’expression du gêne RAI1.
Elles ont permis de déterminer qu’un déficit du gène RAI1 entraînait obésité, troubles du sommeil, du comportement, problèmes de croissance, dysmorphie…
Des études sur des prélèvements de peau de personnes atteintes du syndrome de Smith Magenis aideront à mieux comprendre le fonctionnement du gène RAI1, de son impact neurologique et, ainsi, de rechercher une thérapie palliant la déficience de ce gêne ».